Et qu’importe d’où sont venus ceux qui s’en vont,
S’ils entendent toujours un cri profond
Au carrefour des doutes !
Mon corps est lourd, mon corps est las,
Je veux rester, je ne peux pas ;
L’âpre univers est un tissu de routes
Tramé de vent et de lumière ;
Mieux vaut partir, sans aboutir,
Que de s’asseoir, même vainqueur, le soir,
Devant son oeuvre coutumière,
Avec, en son coeur morne, une vie
Qui cesse de bondir au-delà de la vie.
Emile Verhaeren, Les visages de la vie














































Images prises à l’Institut Inhotim – Le plus grand musée à ciel ouvert du monde – Minas Gerais – Brésil
Magnifique 👏🤩
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» Le paradis, c’est d’être là. » C. Bobin. Merci pour l’évasion dominicale 🙂
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Alors, là, je reste sans voix face à la beauté de ces paysages
Il s’agit d’un musée sur quoi ?
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