Dès la descente d’avion, on sait que l’on vient d’atterrir sur une autre planète !
Autrefois, le Guatemala était une vague extension dans le programme de certains Tour Operator qui proposaient quelques jours d’escapade dans cette terre située au sud du Mexique. Aujourd’hui, c’est une destination incontournable pour tout vrai voyageur, pour tout nomade en quête d’authenticité, de culture, de tradition et désireux de s’immerger dans l’un des pays les plus surprenants d’Amérique latine !
Les traditions y ont la vie dure. Plus de 60% de la population est indienne. Les racines culturelles y sont profondément préservées et la modernité de notre époque ne semble guère avoir de prise sur les guatémaltèques de souche. C’est une immersion puissante et revigorante au cœur de la culture amérindienne ! Les langues autochtones, les coutumes et les costumes, l’univers colorés des vêtements traditionnels et des bus très typiques, l’artisanat, la culture et les relations qu’on peut y tisser sont des aspects particulièrement dépaysant et terriblement séduisant pour qui recherche l’authenticité.
Le Guatemala regorge de merveilles archéologiques. Assister au coucher du soleil en haut d’un des temples de Tikal restera gravé à jamais dans mon esprit. Sans parler de cet écrin colonial, Antigua, ancienne capitale du pays, en partie détruite par les deux un tremblement de terre de 1773. J’y fus accueilli comme un frère par un couple de copains et j’en suis reparti tel un Roi avec deux amis de cœur !
Foncez au Guatemala. Une véritable pépite au milieu de l’Amérique centrale. Je rembourse les billets si vous êtes déçus…:-)




































































































L’impression d’être véritablement au bout du monde.
En 50 ans, les terres encore sauvages (non conquises par l’homme) sont passées de 66% de la surface de la Terre à 36% seulement…
René Char disait jadis « qu’en nos jardins se préparent des forêts. »
Je crois que malheureusement l’être humain rêve de soumettre tout ce qu’il effleure. Et qu’à la place de nos forêts sauvages, il rêve de jardinets bien propres et efficacement clôturés !