
Comment puis-je être encore étonné de ce que je vis après la giboulée de merveilles que ce voyage m’a offert depuis trois mois?
Le Paradis serait-il une immense tour (du monde) comportant plusieurs étages, des accès privilégiés, un héliport au sommet, des invitations VIP quotidiennes et une terrasse en penthouse avec une vue 360 degrés. Vue dégagée sur un passé crépusculaire mais flamboyant, un présent au zénith de l’émotion la plus vive et sur un futur encore hésitant qui confie à l’Ici et au Maintenant le soin de lui donner forme…
J’ignorais que l’on pouvait se sentir en vacances au cœur même d’un voyage autour du monde, où la liberté, la fantaisie et la curiosité sont les seules obligations que je m’impose!
Ce sentiment d’être un resquilleur invité dans une Private party réservée aux plus chanceux provient de feu de l’amitié et d’une insouciance fraternelle qui constitue une belle respiration au milieu de ce voyage en solitaire. Le bateau, la mer, le vent, des paysages idylliques, des soirées entre hommes, le kite surf, le ski nautique, la moto, la pêche, la plongée et cette époustouflante impression que la vie est faite pour ça!
Pas à dire, ils savent recevoir au Paradis, même pour un voyageur clandestin… pourvu que ça dure!