Si j’étais écrivain, après la tombée du soir et avant une nuit aussi blanche que ma page à noircir, dans l’espoir de convoquer ma muse (car convoquer m’amuse;-) et en hommage à Richard Bohringer qui aime tant l’Afrique et les mots, j’écrirais cette première phrase :
C’est beau une ville la nuit…
Convoquer m’amuse ! Tu nous scotch Fred…comme dirait AL !
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