Entre la poussière que je fus jadis et celle que je redeviendrai un jour, dieu que j’en aurais bouffé de cette foutue poussière!
Je ne suis finalement qu’une poussière, certes!
Mais une poussière d’étoile, vive et scintillante comme une escarbille, se consumant dans l’obscurité, durant ce fragment de seconde qui dura toute une vie. La mienne !
Et en guise de conclusion d’une vie bien remplie, l’épitaphe suivante, en forme de pirouette :
Pousse hier
Cendre demain